bob27 a écrit:Et du coup, quid du dérailleur Airlines de Shimano utilisé en descente il y a quelques années ?
Souplesse de fonctionnement, facilité du changement de vitesses, bref, les mêmes avantages que ceux reprochés ici à l'électronique, mais sans moteur ni électrique. Par contre, faut le recharger pour chaque descente quasiment (même chose pour la tige de selle pneumatique BMC à VTT)
Du coup, je vais poser une autre question : pour vous, le problème, c'est la présence du moteur, ou le fait que l'énergie ne vienne pas que du coureur (choses très discinctes) ?
Il me semble que Shimano travaille sur un système piezzo électrique, qui permettrait de ne plus avoir à charger, est-ce encore problématique ? La recharge se ferait par les vibrations du vélo, donc par son avancement, donc par la force du coureur.
On peut même mettre le côté "centrale nucléaire pour recharger" de côté, du coup.
Si c'est le moteur le problème, une bombonne de gaz sous pression et un circuit pneumatique, c'est problématique aussi ou pas ?
Bref, pour me faire une idée de la question (et des réponses), j'aimerai bien mieux comprendre.
Pour moi, il y aurait une dynamo qui fournirait l'énergie électrique pour les moteurs des dérailleurs, c'est bon : l'énergie est fournie par le cycliste et plus par l'apport externe d'une batterie. Le piézo que tu décris me semble OK. Le système mavic mektronic serait dans la zone grise : je crois que c'est le galet de dérailleur qui faisait bouger le dérailleur via une came mais il y avait un electro-aimant pour le débrayage-embrayage (à confirmer par les spécialistes...).
Pour le pneumatique, la FDJ l'a utilisé dans des CLMs (avec Bradley MCGee?) pour les changements de vitesse; ça me semble "éthiquement" similaire au Di2.
J'ai piscine le mercredi soir...