benj' !!!! a écrit:sauf que là on parle pour le gars qui roule en groupe sur le plat à 29,5 km/h de moyenne péniblement .
Bon je vous laisse, ces posts à la c....... ça me gaveL'autre avec son pote de très haut niveau qui se fait propulser par ses roues franchement ça fait pitié
LewOlive a écrit:Si je peux me permettre d'apporter ma pierre à l'édifice au sujet de l'inertie...
J'ai trouvé une idée pour mesurer de manière tangible l'avantage de disposer ou non de roues à faible inertie en périphérie.
Pour ce faire, il suffit de posséder un Polar et le logiciel Protrainer, puis d'avoir quelques fichiers sous la main: un CLM plat avec peu de relances, un parcours d'entraînement typique, avec du plat, quelques bosses pas trop dur (150m de D+ par bosse à 5% maxi et quelques butons à 8-10% passés en injection), et enfin un parcours classique d'une course roulante mais légèrement valonnée avec une bosse par tour de 10km.
Le Polar enregistre la vitesse toutes les 5s, et sur un fichier Excel, il suffit de caculer la moyenne, en valeur absolue des écarts enregistrés toutes les 5s. En effet, la période de 5s me semble assez pertinente pour mesurer une phase d'accélération (plus courte, on n'aurait pas toute la phase, et plus longue, on risquerait de manquer par exemple un mini freinage dans une phase d'accélération).
Résultats:
-CLM: variation moyenne de 0.88km/h toutes les 5s
-Entraînement foncier sur parcours complet: 1.12km/h
-Course sur un circuit complet de 10kmh: 2.16km/h
L'idéal serait de faire tous ces calculs pour tous nos parcours afin d'en tirer des conclusions plus précises.
On voit bien quand même que le rythme course semble particulièrement exigeant ! Les variations sont doubles de celles de l'entraînement.
Les routes que j'ai choisies ont le même profil sur mes mesures entraînement et course, afin de pouvoir bien comparer.
Pour une première conclusion, on pourrait déjà dire que les roues à faible inertie en périphérie sont utiles surtout en course.
Libre à vous de compléter avec vos parcours ces premiers chiffres...
benoît a écrit:Je trouve que vous compliquez la chose fortement.
Si tu fais de la montagne ton terrain de jeu favori, alors il faut privilégier une paire de roue avec le moins de poids possible en périphérie, mais aussi rigide latérallement lorsque l'on monte en danseuse.
A l'inverse sur des parcours plat, l'inertie est interessante, car il faut crte pouvoir monter la roue jusqu'à 35 voir 40 km/h pour ensuite ne devoir qu'entretenir cette vitesse de rotation et car l'inertie va aider.
Sinotre terrain de jeu et entre les deux, il faut alors choisir une roue entre ses 2 extrêmes!
MIMI 25 a écrit:benoît a écrit:Je trouve que vous compliquez la chose fortement.
Si tu fais de la montagne ton terrain de jeu favori, alors il faut privilégier une paire de roue avec le moins de poids possible en périphérie, mais aussi rigide latérallement lorsque l'on monte en danseuse.
A l'inverse sur des parcours plat, l'inertie est interessante, car il faut crte pouvoir monter la roue jusqu'à 35 voir 40 km/h pour ensuite ne devoir qu'entretenir cette vitesse de rotation et car l'inertie va aider.
Sinotre terrain de jeu et entre les deux, il faut alors choisir une roue entre ses 2 extrêmes!
Ok pour un parcours plat type CLM sans coup de cul trop prononcé,sans trop de virages serrés et sans trop de relances etc...
En ce qui me concerne,à part les rares cas où tu vas rouler à vitesse constante,plus c'est légé mieux c'est![]()
A+
tiroukin a écrit:mais d'un autre côté il est clair que c'est la roue avant qui se présente en premier dans le vent, telle la poupe d'un navire, donc elle joue un gros rôle.
Tu as campagnolo qui fait l'inverse la jante avant est plus haute que l'arriére!
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