mais il n'y a pas le sonogramme.
je pense que le Kubios est plus intéressant, mais 200Mo c'est très lourd et il manque une dimension (celle de temps) mon logiçiel de traitement sonore faisant les FFT pèse moins de 20Mo et un programme de traduction des RR en wav pourrait tenir moins d'1Mo.
analyse FFT d'un effort avec fractionnés, celui là, enregistré en 1 points par seconde.
sur l'échelle verticale, le 400 Hz du FFT signifie "1 par minute". On ne voit donc que les basses fréquences de la variabilité de FC, guère plus que 10 fois par minute et c'est très filtré
l'analyse RR pourrait faire voir jusqu'à 100/minute, et en tout cas nettement les fréquences élevées, révèlant la RÉPONSE du système parasympatique.
----------------- état de la réflexion durant l'année 2009
Analyse RR:
La précédente réflexion l'analyse FFT avec une résolution maximale de 1 seconde, car beaucoup de cardio enregistrent chaque seconde la fréquence cardiaque mesurée.
L'analyse RR est différente: le cardio enregistre battement par battement l'intervalle en milisecondes qui s'est écoulé depuis le battement précédent.
exemple 2009112305test-jean.hrm
http://thevenet.jean.free.fr/lionnel-vi ... t-jean.hrm
les données sont communiquées en collonne.
Pour faire l'analyse FFT il nous faut traduire ça en Herzt
1261
1271
1273
1216
1004
977
971
968
1130
1264
1262
1162
De cette suite de chiffre, en mettant en abscisse une donnée, et en ordonnée, celle qui suit, en alterné, on obtient ce type d'analyse
TEST RR assis Lionnel Vincent
test de Jean Thevenet
le graphe de Jean est celui de la personne la plus entraîné. Quand tous les points se grouppent c'est signe de sur entraînement, quand ils restent en ligne, d'état sédentaire ou de fatigue. (détails sur investigations suites à la découvertes de la lissitude anormale des courbes de Bouzid
http://thevenet.jean.free.fr/journal/bo ... de-fc.html.)
Pour faire l'analyse FFT il nous faut traduire ça en Herzt :
ce que fait le logiçiel dans ce type de graphique.
test_assis_r-r_et_1 de Lionnel Vincent
DÉTAIL test RR jean.
Ce qu'on voit dans ces graphes sont les ondulations, le "son" à passer à l'analyse FFT. Il existe des logiçiel, Kubios qui propose une analyse de fourrier mais seulement dans 2 dimensions: intensité fréquence.
Ce que je désirerais qu'il puisse se faire c'est l'analyse 3 dimensions, Intensité (variation de luminance), Temps (axe X) et fréquence Axe Y, c'est ce que font les logiciels de traitement sonore pour afficher les sonogrammes, on parle d'analyse FFT .
(d'où l'idée de fabriquer un wav à partir des fichiers pour utiliser ces logiciels déjà faits)
La présente collonne ne représente pas des échantillons à une fréquence fixe permettant de passer à un logiçiel sonore.
Il faudrait un traitement mathématique pour obtenir la courbe de fréquence déduite, celle ci devrait être échantillonée à plus de quatre fois la fréquence maximale à étudier: le coeur pouvant monter à 250/60 (cas très rares mais possibles), il faut échantilloner à 1000/60Hz soit 16.6Hz ou disons 1000/mn.
Un problème se présente: il y a toujours des marches d'escaliers à gérer entre les intervalles de fréquence déduite et le suivant qui se chevauchent, c'est pour cela qu'il faut sur échantilloner: ces bruits de quantifications pourront ainsi être filtrés par une moyenne glissante sur quelques échantillons, sur 2 à 4 échantillons je pense, ce qui revient à filtrer les "aigus" qui sont au dessus de 120 à 250 60iem de Hz... comme pour éviter les bruits de quantifications et les rotations de phases qui se produisent sur les CD quand on a voulu éviter que les sauterelles de passage fassent du repliement (moirage avec la fréquence d'échantillonge, filtres trop énergiques si on veut laisser passer jusqu'à 20KHz et couper brutalement à partir de 20 d'où les master faits à 96KHz avec un filtrage plus facile à partir de 25KHz présentant une atténuation suffisante à la moitié de la FC d'échantillonage). Ces sons trop aigus seront ici les marches d'escaliers quand l'interval concerné par l'échantillon est à cheval sur l'intervalle variable d'un battement cardiaque avec le suivant.
signifie
1271 --- 47.1 par minute pendant 21 échantillons
1273---- 47.1 pendant 21.2 échantillons (la marche d'escalier se trouve au quart de l'échantillon suivant)
1216---- 49.3 pendant 20.2 échantillons
1004 ----59.76 Hz pendant 16.6 échantillons.
Avec l'analyse RR se profile donc la possibilité de faire des analyses de fourrier avec une résolution égale à la moitié de la fréquence cardiaque, on pourrait donc voir des "sons", des "harmoniques" s'étalants jusqu'à 100/minutes: la présence d'un "bruit" s'étalant sur toute la partie haute du spectre représente les variations rapides de fréquence cardiaques propres au sujet entraîné. La perte des fréquence élevées correspondantes à un effort trop intense, ou à une fatigue. La représentation serait bien plus riche que ce qui existe pour le moment, pour peu que l'on trouve le moyen de transcrire en fichier sonore les analyse RR, de bande passante quadruple à l'analyse 1 points par seconde.
En effet, la dimension temps étant supprimé dans les analyses de fourrier classiques ou les graphiques RR en nuages de points, on ne peut pas vraiment voir ce qui se passe pendant des efforts fractionnés cycliques, ou variable. Là on verra probablement des signatures acoustiques typiques. Le type d'effort y correspondant donne déjà des réponses très variables en fonction du dimensionnement muscles/cardio et aussi du tempérament.
(voir Comparaison efforts de type fractionnés
http://thevenet.jean.free.fr/journal/fr ... isons.html
, ici enregistré à basse résolution: seulement la variations de FC dans des échelle de temps plus grande que la seconde). L'analyse FFT à 16Hz de tels efforts serait passionnante.
Remarquons qu'il pourrait exister des cardios enregistrant la FC à 1000 points par minute, la FC étant alors déduite de l'intervalle précédent, jusqu'à la mise à jour venant avec l'intervalle suivant. On perd ainsi tout de même l'information d'emplacement temporel du battement cardiaque, c'est pourquoi il est plus simple d'enregistrer l'intervalle séparant chaque battement du précédent. L'opération intermédiaire consiste à simuler cet enregistrement de la FC... 1000 fois par minute.
Quoi lire?
Déjà à 1 points/seconde on a une lecture directe de l'intensité d'effort en lisant la FC et on remarque déjà que cette courbe est "bruitée", rugueuse. On ne remarque à l'oeil que les cycles évidents, la séance de 30"30"... mais y a t'il des autres rythmes?
Avec le 1 points par seconde on remarque les gestion d'effort, les cycles inhérents à la nature de l'activité physique et au tempéraments (les cycles de "je bourre"/"je récupère" spontanés qui se tiennent dans les 0.2 à 0.5 cycles/minutes (donc 12 à 30/ heure), et on voit déjà le bas de la variabilité de la FC, renseignant déjà sur les états de fatigues (on voit en effet les fatigués faire "moins de bruit" le bruit étant ici une variations aléatoire du signal: du "grain" dans l'image.
avec l'analyse RR, on verrait les rythmes d'effort occupant juste le bas, et 4 fois plus haut les variations de FC.
ici on voit bien que la variablité de la FC est moindre sur le pallier d'effort fait en zone 3 , puis une phase de repos voit le bruit augmenter à nouveau. On remarque, durant le premier pallier d'effort qu'il y a tendance à osciller sur 4 rythmes, du 600/400mn, du 450/400/mn, du 300/400/mn, et du 200/400/mn: ces résonnances peuvent renseigner sur divers aspects encore à découvrir, justement avec ces outils. Mais comme je le répète, ici on ne voit que le bas, comme si on faisait état de la biodiversité des lieux avec un magnétophone "sourd" (qui n'enregistre pas les aigus) qui prend les bruits de moteurs, très mal les oiseaux et pas du tout les insectes.